" (...) De plus, Stéphanie Lagarde déploie une approche très particulière dans sa façon de raconter des histoires : à la plus fine touche du burlesque (dans la grande tradition américaine, mais surtout, de Jacques Tati - probablement la seule cinéaste française qui a su actualiser son héritage avec sagesse) elle ajoute des touches de surréalisme, dans la lignée de notre grand maître de cet art difficile, Luis Buñuel. Le résultat est hypnotique, captivant et spectaculaire."
Carlos Loureda dans "Fotogramas" (traduit de l’espagnol)
Una manera de poner distancia (a la enfermedad) es a través de la poésia, del humor, de la imagination.
Une façon de mettre de la distance (avec la maladie) à travers l'humour, la poésie et l'imagination.
Interview de Stéphanie Lagarde par Gerardo Leon pour LA CABINA dans le cadre du festival international du moyen métrage de Valencia, Espagne.
crédit Eric Gill
" Tragique ou clownesque, Stéphanie Lagarde explose le cadre, dérape, déraille à merveille en bourgeoise désespérée ou en suivante allumée."
Pierre Notte, « Théâtre(s) »
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crédit Eric Gill
"(…) Stéphanie Lagarde, mondaine et désespérée comme une femme qui aurait perdu son carton d’invitation pour un défilé Galliano. Elle fait penser à une comédienne aujourd’hui oubliée mais fantasque dans son jeu, Suzanne Dehelly. Une aristocrate du rire."
Jean-Louis Pinte, « Le Figaro »
" Il faut quelques secondes aussi pour savoir qu'un acteur ou une actrice contient au-dedans de lui un " son " qui parlera à tout le monde."
Pierre Arditi
La vie d'acteur offre parfois le privilège de croiser d'autres créateurs avant le public, avant cette reconnaissance des autres, à cet instant précis où ils sont encore en devenir d'eux-mêmes, mais où déjà, leur originalité, leur tessiture permet de penser qu'ils feront parler d'eux.
Ainsi, j'ai eu cette chance de connaître (et de reconnaître) Muriel Robin, Isabelle Carré, Sandrine Kiberlain, Yasmina Reza, avant tout le monde. Stéphanie Lagarde est de ceux- là. Elle a un " ton ", une manière de peindre le monde qui n'appartient qu'à elle. Elle est déjà elle-même, et cet " elle-même " rencontrera les autres, j'en suis persuadé. Il faut quelques secondes pour tomber amoureux. Il faut quelques secondes aussi pour savoir qu'un acteur ou une actrice contient au-dedans de lui un " son " qui parlera à tout le monde (...).
Pierre Arditi